Concours de Ballades

Sur cette page, de manière anonyme, je mets en ligne vos productions afin que vous puissiez voter.

 A qui la couronne ?

Pour voter ☝

Envoyez-moi un mail dans lequel vous indiquez le numéro de vos deux ballades préférées. La première aura 2 points💗💗, la deuxième 1 point💗 Bien sûr vous n'avez pas le droit de voter pour votre ballade. Date limite pour voter dimanche soir. Je proclamerai le palmarès lors de la prochaine classe virtuelle

Ballade 1

Le Temps Assassin

Une enfance arrachée,

Ne peut qu'être blâmée,

Car malgré tout, nos beaux dessins

« Berce le temps assassin. »

Les sons cristallins,

De nos mères de bon matin,

Qui sont comme un réveil-matin,

« Berce le temps assassin. »

La lumière du soleil,

Est comme éternelle,

« Berce le temps assassin. »

Mais la vie ne l'est pas,

Et le dernier combat nous tends les bras,

« Berce le temps assassin. »

ENVOI

La vie n'est pas un fleuve tranquille,

Comme un dessin on vit en vain,

Et leurs vaques infantiles,

« Berce le temps assassin. »

Ballade 2

 Elle était vêtue de cheveux blonds,

Qui étaient tout aussi longs,

Avec un regard d’Apollon,

Que tous nous adoptions.

Son sourire de déesse,

Qui nous montre sa prouesse,

Tel une grande duchesse.

Elle était d’une beauté divine.

Elle était d’une élégance inimaginable,

Et d’une prestance incontournable,

Sa présence était inoubliable,

Avec une gentillesse incroyable.

Chaque homme voulait l’aimer,

Elle était réclamée,

Ce qui la sublimait.

Elle était d’une beauté divine.

C’est un amour impossible,

Mais rien n’est inaccessible,

Tout est possible,

Si elle n’est pas invincible.

C’est pour cet amour qu’il porte,

Et qui le transporte,

Qu’il vit aujourd’hui. 

Elle était d’une beauté divine.

Il l’aimait de tout son cœur,

Et d’une profondeur,

Qu’il lui donnerait son cœur.

Elle était d’une beauté divine.                   

Ballade 3

Celle dont je vais parler toujours nous emporte.

Même si nombre de nous cherchent à la contourner,

Car, je l’entends, ils craignent sa macabre escorte,

Elle-même n’est pas des choses que l’on puisse éviter.

La Puissance divine elle-même n’en protège pas.

Pour nous tous, mortels, elle nous colle à la peau,

Et fait passer de vie courte ou longue à trépas.

Nous autres qui, devant elle, demeurons tous égaux.

Mais certains, de nos jours, la considèrent moins forte.

Aujourd’hui nombre de choses nous aident à l’écarter,

Nous permettant de croire que, enfin, on l’emporte,

Mais pour juste un temps, souvent de moindre durée.

Mais si elle est une guerre, nous en sommes les soldats

Qui, à la vie, finissent par tous tourner le dos.

Privant peu à peu de la vie et son éclat.

Nous autres qui, devant elle, demeurons tous égaux.

Voisine de la vie, il faut qu’on la supporte,

Lorsque, de sa main froide, elle vient nous couronner.

Quand, du ciel, elle nous laisse enfin franchir la porte

Nous pouvons de sa main nous sentir libérés.

Nous pouvons donc conclure que dans une caisse de bois,

Nous plaisons à cette dame, allégeant son fardeau,

Qui avec nous tous, est alourdi déjà,

Nous autres qui, devant elle, demeurons tous égaux.

ENVOI

Que nous la possédions, ou oui ou non, la foi

Elle-même est de ces choses dont on subit l’assaut

Et qui, un jour ou l’autre, sûrement nous emportera,

Nous autres qui, devant elle, demeurons tous égaux.

Ballade 4

Ballade 5

Si vous voulez savoir comment
Nous aimons les fraises
Je vous le dirai tendrement
Si vous voulez savoir comment
Sont elle arrivées en haut de cette falaise
 Je vous l'expliquerais bienveillament
 En quelque termes, voici comment
 Nous aimons les fraises

 Nous avions un grand verger
 Ou il y avait une cabine
 J'y allais m'y reposer
 Nous avions un grand verger
 Les animaux venaient y manger
 Mes parent faisait la cuisine
 Pendant que je me reposais dans ma cabine
 En quelque termes, voici comment
 Nous aimons les fraises

 Mon fraisier poussait dans mon jardin
 Par l'eau délicieuse de la pluie
 On peut y trouver du raisin
 Mon fraisier poussait dans mon jardin
 La pluie nourrissait tous mes fruits

Ballade 6

LES MONUMENTS

Dites-moi où et dans quel pays
Dites moi où est la statue de la Liberté?
et le mont Rushmore
et le grand Canyon
Où sont ces monuments ?

Où se situe la tour Eiffel
Et le Machu Pichu
Ainsi que le  Colisée
Où sont ces monuments ?

Où est le Ankor vat
Dites moi où est Big bien
Et puis le State building où est-il?
Où sont ces monuments?

Ballade 7

Le confinement

Le confinement nous est tombé dessus

Le mardi dix-sept Mars après-midi

Nous nous sommes posés beaucoup de questions

Mais quand allons-nous pouvoir sortir ?

L’école a fermé sans prévenir

S'en est suivie les bars, les restaurants

Seul les élections se sont déroulées

Mais quand allons-nous pouvoir sortir ?

Je ne pourrai plus faire de rugby

Ma famille, mes amis vont me manquer

Plus de championnats, ni compétitions

Mais quand allons-nous pouvoir sortir ?

Ce jour le président a parlé

Le onze mai sera un nouveau départ

Mais quand allons-nous pouvoir sortir ?

Ballade 8

Assis sur un pont de Paris,

Ce couple naissant dansera,

Cependant leurs âmes sans vie

Se briseront-elles ce soir ?

Cette folie qui les tuera,

Nocive, elle l’est, elle sera.

Jusqu’à ce qu’ils voient leur futur,

Dans l’éclat des pluies d’étoiles.

Elle, verra et découvrira,

Un avenir meilleur ici,

Dans cette ville de l’amour.

Où règne la Dame de Fer.

Sans la peine de son passé,

Elle vivra à travers le temps,

Dans sa ville, dans son logis,

Dans l’éclat des pluies d’étoiles.

Quant à lui, il sombrera, seul.

Sa vie deviendra morose.

Malgré l’aide de ses voisins.

Il décidera d’arrêter,

Cette vie malsaine alors,

Comme il l’a fait hier soir,

Il regardera son passé,

Dans l’éclat des pluies d’étoiles.

Envoi

Tous les deux ont évolué,

Ont grandi en se séparant.

Fixant toujours leurs reflets seuls,

Dans l’éclat des pluies d’étoiles.


Ballade 9 

Ballade 10

Elle est recouverte d’une couverture bleue
Venant frôler le sable du bord de plage
Qui garde pleins de secrets
Elle referme beaucoup de vie
Toutes les larges voiles au vent
Sous un ciel clair, les flots d’un azur
La beauté de ses coquillages
Aussi calme que bruyante
Avec ces beaux oiseaux
Un paysage différent à chaque saison

Ces grands champs verts au printemps
Qui sont vêtus de blanc en hiver
Protégés par de grands arbres
La nature prend le dessus
Quand le soleil chauffe le blé
Un vrai bain de bonheur
Plusieurs oiseaux qui brillent comme des étoiles
Avec sa lande fauve
Le vent qui fait trembler les feuilles
Un paysage différent à chaque saison

Au front des pics neigeux où l’aigle pend son aire
J’entends le monde à grands moteurs faire trembler les montagnes
De paysages magnifiques du haut des sommets
Enneigé en hiver
Une super flore l’été
Un paysage différent à chaque saison
De beaux lacs à chaque vallée
Un endroit aussi sauvage que féerique
En haut on peut observer l’immensité du monde
Un paysage différent à chaque saison

Quand le jour s’endort
Le ciel se colore
Un paradis de lumière
Un paysage différent à chaque saison

Ballade 11

Je prends la route en chantant
Je m'en vais voir mère grand
Avec mon panier ou y'a du beurre
Une galette et des douceurs

Pour aller à la maison
J'arrive en chaussons
Je sors dehors voir les pandas
Les zèbres, et les koalas

Pour aller dans la carrière
De grand père
Je connais un raccourci
Grâce à Annie

Ballade 12

Tu ne veux pas lui donner d'explication ?
Une explication à ton absence ?
À ta distance ?
Dis-lui ce qu'il t'arrive ?
Elle ne comprend pas...

Qu'a-t-il pu vous arriver ?
Pour que vous en arriver là...
Que s'est-il passé pour que tout s'arrête
Aussi vite sans aucune raison
Elle ne comprend pas...

Un tas de questions
Tournent dans sa tête
Des questions sans réponses
Évidemment elle aurait voulu des réponses
Elle ne comprend pas...

De pouvoir passer au-dessus
De cette lourde épreuve
S'apaiser, atténuer son chagrin
Et pourtant rien de ta part
Elle ne comprend pas...

Ballade 13

Nous humains, polluons
Nous humains, respectons point
Nous humains, recommençons
Nous humains, voyageons

Frères animaux,
Frères plantes,
Nous vous retrouvons
Plus ou moins aimons

Nous nous confinons
Mais aujourd'hui
Nous déconfinons
Nous nous engageons

Respecter, mieux aimer
Frère, soeur de la nature
Nous vous aimons
Nous vous demandons pardon

Ballade 14

Ballade 15

Un matin d’un mois froid,
Encore allongée dans le chaud,
Je sentais déjà le gel enlacer mes doigts,
Les frissons parcourir mon dos.
Je savais déjà ce qu’il se passait,
C’était rare ce qu’il se passait.
Une fois la fenêtre ouverte, je l’ai constaté,
Les fleurs ont fané, La neige est tombée.

Les enfants jouaient dedans,
dans l’insouciance, dans l’innocence,
La poudre blanche faisait claquer leur dents.
Dans ce décore on pouvait observer le silence
Pendant que les flocons dansaient,
Pendant que les petits s’amusaient,
Les mains pétrifiées, je l’ai observé.
Les fleurs ont fané, la neige est tombée.

En marchant dedans je sentais le froid,
Petit à petit enrober mes pieds.
Je le voyais, je le sentais,
Les fleurs ont fané, la neige est tombée.

Ballade 16

LE TEMPS QUI PASSE

il n'épargne personne de son influence

chacun le ressent avec des différence

il permet à la pensée de s’épanouir

le temps qui passe, l'ignorance qui trépasse

il fait la vie et la mort

il fait la paix et la guerre

il noue des relations et rompt des engagements

le temps qui passe crée est détruit

de part sa nature nul ne l'ignore

tous le vivent et le ressente

certains y pensent d'autre ne s'en préoccupent

le temps qui passe n’épargne personne

amour le temps noue des liens

voit n’être l'amour mais aussi sa fin

le temps qui passe conforte une idée de par ses doutes

Ballade 17

Ballade 18

Dans quel pays voudrais-tu vivre
Madagascar ou le Ghana
Peut-être la France, le Luxembourg,
Ou encore l'Arménie et la Malaisie
Connaissez-vous les continents ?

Dans quel pays, voudrais-tu voyager ?
En République Dominicaine?
Peut-être Singapour, l'Inde
Ou encore l'Allemagne et la Suède?
Connaissez-vous les continents?

Quel pays, voudrais-tu éviter?
La Chine et la Corée du Nord?
Peut-être la Guinée, le Népal
Ou encore le Cameroun et le Brésil ?
Connaissez-vous les continents ?

Ballade 19

Dites-moi où en quel pays
Sont passés leur simple beauté,
Leur grande générosité
Et leurs agréables sourires
N’oubliez pas leur gentillesse,
Leur patience, leur politesse
Tout ce qui nous fait rêver
Ce sont les femmes d’aujourd’hui !

 Elles sont parfois mères au foyer
 Elles s’occupent de leurs bébés
 Elles préparent le déjeuner
 Pour les grands qui vont arriver
 De l’école, collège ou lycée
Vite aller à Intermarché
Vite il faut tout bien astiquer
Ce sont les femmes d’aujourd’hui !

Connaissez vous les femmes d’affaires ?
Qui négocient toute la journée
Elles ne sont jamais fatiguées
Prennent un air grave et sévère
Avocates, profs ou secrétaires
Politiciennes ou pharmaciennes
D’elles, leurs enfants sont fiers.
Ce sont les femmes d’aujourd’hui !

Vous les hommes qui les aimez
Apprenez à les remercier
En leur offrant plus de liberté
Après tout, elles l’ont mérité !

Ballade 20

LA DANSE

Un soir il est venu l'accoster.

Avec son sourir charmeur,

On ne saura ce qu'il voulu prouver.

Il lui fit un million de promesse avec ardeur,

Que charmer, elle finit par accepter

Pensant que ces paroles venaient du coeur.

Et c'est six mois plus tard qu'on les virent se marier

A l'église du village, entourés d'un millier de choeur

REFRAIN

Dites-moi, qui est cet homme

En qui elle a eu confiance

Qui lui a tendu sa paume,

En laquelle elle aurais du accorder seulement de la prudence

Jamais un enfant ne pointa le bout de son nez.

-Qui êtes-vous belle demoiselle

Pour que votre ventre ose me refuser

Voulez-vous m'humilier ma belle?

Sa main s'éleva, puis vint la caresser sauvagement

Tant de beauté fut soudain gâcher.

Toujours sa paume renfermée venait l'accoster durement,

Elle n'était plus que fantôme, où le ciel venait se décolorer

REFRAIN

C'est dans la même église qu'on la maria,

Qu'on la vit pour la dernière fois.

La dernière danse lui a été fatale

Son corps avait trop mal.

Personne ne pensait que c'était lui

Jamais il n'aurait commis tel infamie.

Et l'assassin fit tout pour,

Montrer que, jamais, il n'aurait tué leur Amour.

ENVOI

Messieurs, Messieurs!

Ne voyez-vous pas donc

Que le seul coupable n'est autre que celui,

Qui aimait tant l'emmener danser.

Ballade 21

L'EPIDEMIE D'IL Y  A UN DECENNIE

Les gens confinés
Pensaient à leur été
Et rêvaient d'en profiter
Ils ne voulaient  pas le voir leur passer sous le nez
En attendant d'être déconfinés
Ils devaient trouver des activités
Pour ne pas trop ruminer
Et ils applaudissaient les personnes sans cesse mobilisées

Ils ressortirent des placards oubliés
Les vieux livres abimés
Les CD plus que réécoutés
Et les DVD des millions de fois  visionnés
Certains s'improvisaient cuisiniers
Pendant que d'autres dégustaient
Les enfants s'amusaient comme ils le pouvait
Et ils applaudissaient les personnes sans cesse mobilisées

Quand le déconfinement fut annoncé
La société française fût divisée
Une partie était terrorisée
Alors que l'autre partie était libérée
De manière générale les gens étaient indisciplinés
Cela dépendait des résultats des régions évaluées
Contre cette épidémie tout le monde essayait de lutter
Et ils applaudissaient les personnes sans cesse mobilisées 

Ballade 22

Une vie compliquée.
De vieux vêtements abîmés.
Les regards de rejet
"La fille adoptée"

Ce long couloir,
De ce grand manoir,
Où se trouve la fille au cheveux noirs.
"La fille adoptée"

Une famille déchirée,
Et une autre reformée,
Son cœur est chamboulé.
"La fille adoptée"

Une famille incroyable,
Cela lui semble inimaginable,
La fille de nouveau aimée.
"La fille adoptée"

Ballade 23

Personne ne le sais mais moi je le sais

Qui possède le meilleur de moi?

Tout le désespoir s'est arrêté

Il n'y a plus de moi.

Je déteste être moi

Tu m'as donné le meilleur de moi-même

Si j'ai le courage de me tenir devant toi

Je te donnerais le meilleur de moi-même

Même si je deviens quelque chose d'autre que moi même

J'avais besoin de l'approbation

J'ai pu la surmonter sans toi,par moi même

Mes erreurs sont mes propres constellations.

Envoi

Même si je tombe de nouveau

J'essayerai de nouveau,plusieurs fois s'il le faut.

Ballade 24

TRAVERSER LE BRUIT

Nous avons tous nos propres failles.
Surtout Lorsque l'on est éprouvé.
Faut-il vraiment que j'y aille ?
Il est inutile de s’énerver.
De l’ombre je dois m'élever
C'est ainsi qu'on grandit.
Ce regard m’empêche de me lever
Il pèse sur mes épaules et m'alourdit.
Car il s'agit du regard d'autrui
Dans lequel je vois un incendie
S'élever l'un et l'autre pour traverser le bruit.

T'avoir à mes côtés quelle trouvaille ,
J'ai besoin de toi pour me soulever
J'ai bien hâte à nos retrouvailles
Ce calendrier que je n'arrête pas d'observer
En attendant sans y renoncer ton arrivée
Grand frère, arriveras -tu bien un samedi ?
Promis Le 11 juillet que j'ai gravé ?
Je t'attendrai toute l'après-midi
Pour réparer tes cadeaux détruits C’était une vrai tragédie
S'élever l'un et l'autre pour traverser le bruit.

Je gagnerai cette difficile bataille
Tu as si bien su me le prouver
En signe de victoire j'agiterai cet éventail
Ce jour-là,si haut, tu m'a élevée
C'est pourquoi tes mots m'ont motivé
Je les ai écoutés comme une mélodie
Qui m'a permis cette nuit de rêver.
J'y suis arrivé tu l'avais prédit
Grâce à toi finit mon ennui
Je n'oublierai jamais ce que tu m'as dit
S'élever l'un et l'autre pour traverser le bruit.

Grand frère, avancer le temps est interdit
Car tu serais à jamais maudit
Le soleil se lève aujourd'hui
Voilà les mots que je te dédie
S'élever l'un et l'autre pour traverser le bruit.

Ballade 25

Allons boire un verre mon ami

Parlons de nos soucis

Exprimons nos peines de cœur

Même si ça prendra des heures

C'est ça la vie

Mon ami la vie est faire de haut et de bas

Voilà pourquoi il ne faut pas baisser les bras

La vie est difficile

Mais avec qui est-elle facile ?

Même si ton cœur est froissé

Il faut se relever

C'est ça la vie

Ballade 26

UN BEAU JOUR DE PRINTEMPS

Ma vie fut chamboulée en un jour
Un beau jour de printemps, mon cœur s’est enflammé,
Ce jour là il a suffit d’un simple bonjour,
Un seul de tes sourires a su me charmer,

Nos premiers regards créèrent une affinité,
T’aimer est sans doute le chemin qui mène vers demain,
Tu es mon unique lumière dans l’obscurité,
Je le sais nous aurons un futur commun

Je suis perdu sans toi, tu es mon seul ange
Un an plus tard et notre amour grandit toujours
Ton absence laisse en moi un vide qui me démange,
Je pense à toi et Tu es mon bonheur du jour

Ballade 27




AU SOLEIL DE MES NUITS

Baigné d’insomnie
Mes rêves qui nourrissent
Le feu de ma passion
Peu importe les saisons
Je chante à l’unisson
Regarde moi

J’écume les rivages de ton sourire en une mer sincère
Tu as fait naître en moi un été dépassant tout mes hivers
Les vagues de mon âme polie aux caresses de ta main
Un voyage et le rêve réunis sans fin
Regarde moi

Je remplis de noir ce qui ne l’est pas
Je comble le vide le néant qui habite au plus profond de moi
Avec mes silences et le reste
Et mes peurs de bête
Regarde moi